Description

Formule Sensibilité Saisonnière Quercétine • MSM • Œufs de caille H.D.N.C

Cette formule aide l’organisme à mieux gérer les sensibilités saisonnières alimentaires et environnementales. Sa synergie élaborée avec des composants naturels la rend très efficace.

Principes actifs de la formule Sensibilité Saisonnière H.D.N.C

Cette formule synergique contient de la Quercétine, du MSM et des Œufs de caille.

La Quercétine

La quercétine inhibe l’enzyme cyclo-oxygénase, réduisant la production des principaux médiateurs inflammatoires : prostaglandines et leucotriènes. Ce large spectre d’activité est intéressant pour le confort des muqueuses.

Elle limite également la libération d’histamine par les basophiles et les mastocytes.

L’histamine est impliquée dans la plupart des réactions de sensibilité saisonnière pouvant entraîner des manifestations désagréables (éternuements, inconfort, etc.).

Le MSM (méthylsulfonylméthane)

Le MSM intervient dans de nombreuses réactions enzymatiques et hormonales, et contribue au bon fonctionnement du système immunitaire.

Lorsqu’il est disponible en quantité suffisante dans l’organisme, le MSM se concentre autour des membranes des muqueuses, formant un écran protecteur qui limite les effets des éléments extérieurs.

Des études montrent d’ailleurs un intérêt du MSM dans le soutien du confort respiratoire et cutané. Selon Earl Mindell, Ph.D., le MSM accroît la perméabilité cellulaire et facilite l’élimination des toxines et radicaux libres.

Œufs de caille

L’albumen de l’œuf de caille contient de l’ovomucoïde, un puissant inhibiteur de la trypsine humaine, impliquée dans certaines réactions de sensibilité saisonnière.

De plus, les œufs de caille sont riches en ovoinhibiteurs, qui possèdent une activité intéressante sur l’élastase, une enzyme jouant un rôle dans divers déséquilibres de l’organisme.

Des recherches menées sur plusieurs espèces de volatiles ont démontré que le blanc d’œuf de caille présente les concentrations les plus élevées d’ovomucoïde et d’ovoinhibiteurs.

Ce remède naturel a suscité un intérêt scientifique après l’observation d’éleveurs de cailles constatant un mieux-être saisonnier, selon les travaux du Professeur J.-C. Truffier en 1967.